Ce mois-ci, Thomas Roche met en exergue une problématique rencontrée et apporte des éléments de réponses à la question suivante : En matière d’usage secondaire d’échantillons biologiques, est-il nécessaire de recueillir la non-opposition des personnes concernées ?
Lorsqu’il est envisagé un usage secondaire d’échantillons biologiques, est-il nécessaire de recueillir la non-opposition des personnes concernées ?
Dans le domaine de la recherche, différents textes évoquent la possibilité de mener des actions (participations à une RIPH 3, usage secondaire d’échantillons biologiques, etc.), sauf opposition exprimées par les personnes concernées. Aujourd’hui, il est intéressant de se questionner sur les modalités d’expression de cette opposition.